La forêt du Chapuis, en cours de reconstitution après l'avalanche de 2006. Prise de vue en direction de l'ouest, depuis Plan Jo.
2006 (13 juin)
2009 (12 juillet)
2006
2009
2011
2014
Présentation
Au printemps 2006 l'avalanche des Chapuis s'est engouffrée dans son couloir classique de descente passant par-dessus le torrent et couchant les arbres jusqu'à l'Isère. Aucune perte humaine mais des dégâts considérables. Une évidence au vu des feuillus et des bouleaux couchés par le souffle de la poudreuse fraîche. Les forêts contribuent à limiter les départs d'avalanches mais lorsque le manteau neigeux est trop instable, elles ne peuvent freiner l'avalanche partie au-dessus d'elles. Tout au plus, peut-on pour protéger les maisons respecter les règles simples issues des pratiques traditionnelles de l'espace : construire loin des couloirs et dos à la pente sans ouvertures par exemple. Cette photographie nous rappelle que la haute montagne, même ici à relativement basse altitude, peut aussi se montrer brutale. (France Harvois, 2009)
Témoignages
PNV, Régis Jordana : Avalanche de neige fraîche de mars 2006 dite avalanche des Chapuis, qui a couché des feuillus. À droite des parcelles, petit hameau, deux maisons (lieu-dit le Villaron). (recueilli par Caroline Mollie, 2008)